Ce texte est à la fois un outil de libération et à la fois une piste de réflexion pour se libérer des crises de panique.
Le lire permet déjà de créer des connexions positives vers un apaisement et de faire des prises de consciences bénéfiques à un mieux-être. Je vous invite à le lire en prenant le temps de laisser les mots infuser en vous et en prenant le temps de ressentir dans votre corps votre respiration et vos sensations.
Ton corps exprime des peurs, des freins. Il te demande de ne pas aller dans telle direction, il demande plus de temps. RESPIRE.
Oui, c’est difficile de se sentir bloqué(e), figé(e), empêché(e) de réaliser les actions qui te tiennent à cœur : conduire, aller dans des lieux avec beaucoup de monde ou du bruit, rencontrer de nouvelles personnes, faire des activités à sensation… Cela n’est pas facile quand une crise de panique surgit et t’empêche de vivre cela pleinement.
Que peux-tu comprendre de cela ? Pourquoi ressens-tu ces sensations ? Les as-tu déjà ressenties ? A quel moment ? Cet évènement mérite ton attention, ta considération. Cela n’est pas aisé de s’y replonger, mais pourtant, tu y trouveras probablement des réponses. Ressens en toi ce que tu as ressenti à cet instant. RESPIRE.
Quand tu respires, tu accueilles et quand tu accueilles l’énergie lourde qui te freine elle s’évapore, elle disparait, elle circule, elle s’en va. Elle s’en va hors de toi. Ne retiens rien, laisse faire ta respiration.
La crise de panique arrive quand tu n’écoutes pas tes limites, quand tu vas trop loin, quand tu refuses d’exprimer que tu n’es pas prêt(e), pas serein(e) dans telle ou telle situation. Tu as le droit de ne pas être prêt(e) ou d’avoir besoin de l’exprimer, tu as le droit d’être accueilli(e) dans ce que tu vis et dans tes besoins. Tes proches sont en mesure de respecter cela, de le comprendre et de te rassurer.
Avoir un blocage pour faire ce qui te semble impossible ne veut pas dire que ce sera toujours là, cela te demande juste d’accepter le temps dont tu as besoin pour comprendre son origine, son message et comment t’apaiser. Tu peux y arriver avec le temps. Et tu as tout le temps pour y arriver. Oui tu as le temps, donne-toi le temps, et choisis de te donner le temps dont tu as besoin.
Prendre le temps ne veut pas dire ne rien faire, cela veut dire : avancer pas après pas.
L’aide dont tu as besoin est accessible, fait appel à une personne en qui tu as confiance, qui pourras t’aider à guérir en profondeur et à aller vers ta force et la confiance en toi.
Commentaires récents